vendredi 20 juillet 2012
Depuis sa tendre enfance, ce digne et valeureux fils de la région de l’Ouest Cameroun, aujourd’hui rédacteur en chef du quotidien de l’économie avait déjà les prédispositions optimales pour une éventuelle carrière dans le métier du journalisme.
A son jeune âge, il était déjà fervent et fidèle auditeur des émissions à caractères sportifs diffusées à la radio. Cette passion a suscité en lui beaucoup d’admirations à l’égard des journalistes des sports qui commentaient avec brio les rencontres de football des championnats de première division camerounais, très prisés à l’époque. Piqué par ce ‘’virus’’, le jeune Julien CHONGWANG n’hésitera pas à embrasser ce métier considéré par bon nombre de personnes comme le plus beau du monde et par ricochet détenteur du quatrième pouvoir. Arrivé en classe de 6ème, ce natif du village Batiekol dans le département des hauts plateaux se fera le plaisir de commenter les rencontres de football inter classes organisées au lycée dans le cadre des activités post et péries scolaires. Il deviendra plus tard le meilleur commentateur en ‘’herbe’’ de sa génération. Après l’obtention de son baccalauréat A4 Allemand en 1997, il s’inscrit à l’université de Yaoundé I à GOA-EKELLE comme étudiant en première année de lettres modernes françaises. Son passage au sein de cette filière académique sera malheureusement de courtes durées à cause de son admission quelques mois plus tard à l’école supérieure de science technologique de l’information et de la communication (ESSTIC Ydé) spécialité journalisme.
En 2011, Julien est diplômé de cette école. Il fait d’ailleurs partie de la 29ème promotion du genre. Dès sa sortie de l’ESSTIC, il s’est jeté corps et âme dans ce métier. L’actuel rédacteur en chef du quotidien privé de l’économie a longtemps roulé sa bosse dans plusieurs rédactions de la place à l’instar du journal Equatorial, dont il a été l’un des maillons clé pour son décollage, parallèlement avec le lancement de la radio Equatoriale qui émet actuellement dans la ville de Sangmelima. Ce projet a vu le jour en 2002. Deux ans plus tard il dépose ses valises aux quotidiens mutations, puis à la nouvelle expression. En novembre 2011, il est appelé par Thierry EKOUTI, directeur de publication du quotidien de l’économie, en vue d’apporter son expertise et sa longue expérience pour l’éclosion de ce quotidien thématique qui traite l’information économique Spécifiquement. Cet organe de presse se porte d’ailleurs très bien dans l’univers médiatique camerounais. Selon le rédacteur en chef du quotidien de l’économie, la liberté de la presse au Cameroun est d’ordre relatif compte tenu de la panoplie des médias qui émerge au quotidien sous le prisme de la tolérance administrative.
En croire Julien CHONGWANG, cette facilité à fonctionner contribue à suffisance aux multiples dérives que l’on note de nos jours dans l’exercice de cette noble profession. Notamment le non respect des règles de déontologie et d’éthique en journalisme. Au vue de ce dérapage Julien pour sa part exhorte la jeune génération qui vient d’intégrer la profession par vocation ou par passion de beaucoup écouter soit les médias, soit les conseils des ainés. Car c’est le gage d’une réussite exemplaire et exceptionnelle pour une carrière en journalisme. On est tenté de dire que c’est la parole d’un ainé qui maitrise les rouages de ce métier très couru par de nombreux jeunes. C’est un journaliste dont le dynamisme, l’ardeur au travail, la rigueur ne sont plus à démontrer. Au-delà de sa casquette d’historien du présent, Julien CHONGWANG a aussi beaucoup d’admirations pour l’enseignement. Malheureusement, le destin aurait voulu qu’il soit un homme de médias. Il est important de relever que ce professionnel de la plume est issu d’une famille polygamique, dont sa mère génitrice NOUBIE Jeanne est la deuxième épouse de son feu père papa NZONGANG Maurice. Lecamerounaisinfo.com n’a pas manqué de faire un détour dans le jardin secret de Julien. On a envie d’annoncer que le super ‘’Rec’’ est fiancé à une charmante demoiselle et sans enfants en charge. Bon vent Julien dans l’accomplissement de tes multiples et exaltantes tâches.
Par Didier Constantin KIERETU