mercredi 22 septembre 2021
Feuilleton judiciaire : Sitrafer traîne camrail en justice pour faux et usage de faux .
La bataille judirique entre Sitrafer et sieur Jacques Bimai contre la société camrail du groupe Bolloré est loin d’être connaître son terme . Le consortium d’avocats constitué du bâtonnier Charles Tchoungang , Me Clement Nakong , Me Serge Bakoa et Me Martin Bitond , chargé de la défense des intérêts de la Sitrafer ( société internationale des travaux ferroviaires ) était face à la presse ce Mardi 21 septembre 2021 à Douala . Objectif : annoncer aux professionnels des médias la nouvelle procédure judiciaire qui vient d’être déclenchée contre la société camrail s.a du groupe Bolloré pour faux et usage de faux des titres fonciers .
Dépôt d’une plainte .
En date du 14 juin 2021 , la société Sitrafer et sieur Jacques Bimai a déposé une plainte à la police judiciaire de Yaoundé contre sieur Pascal Miny , Directeur général de la société camrail Serge Martin Zangue , Benoîte Carine Atangana , Nguenkam wansi et toutes autres personnes que l’enquête révélera chemin faisant , pour des faits gravissimes de faux et usage de faux . en écriture publique , déclarations mensongères et diffamation , perpétrées dans le département du Nkam à yabassi au lieu dit quartier Nkolmbong et de l’océan à kribi au lieu dit Talla kribi .
En date du 7 janvier 2020 , la Sitrafer et sieur Jacques Bimai ont obtenu une assistance judiciaire totale pour la défense de leurs intérêts dans le cadre d’un procès civil contre la société camrail pour une réparation des préjudices subis à hauteur de 20 milliards FCFA environs .
Manoeuvre dilatoire et manipulation de la justice.
Dos au mur , les accusés , notamment sieur Pascal Miny , leurs conseils et autres acolytes acquis à leur cause , ont monté en toute pièce un complot machiavélique pour les besoins de la cause dans le but de faire annuler cette assistance judiciaire . Mettant à contribution tout un réseau de faux titres fonciers , au niveau des conservateurs fonciers à yabassi et à kribi , d’une part , et ont fait des déclarations mensongères et diffamatoires , pour tromper la vigilance du tribunal , d’autre part , les mis en cause sont allés plus loin en attribuant faussement des actions à sieur Jacques Bimai , par administrateur directeur général dans une société nationale tunisienne ( Sitrafer). Malgré ces manœuvres et cette tentative de manipulation , la commission d’assistance judiciaire a l’unanimité de ses membres , a rejeté la requête de camrail pour faits non justifiés . Le but précis recherché par camrail , et ses acolytes est de faire condamner sieur Jacques Bimai , afin de paralyser l’ensemble des procédures civiles et pénales engagées par sieur Bimai contre camrail.
L’entrée en jeu de l’interpol.
Pour débusquer ce réseau local des faussaires et que lumière soit faite sur ces accusations assez grave , la partie plaignante a sollicité l’intervention du service interpol au niveau de la Tunisie avec à la clé , des pièces versées au dossier .
Didier kieretu.