mercredi 1er octobre 2014
Le supermarché de vente en ligne au Cameroun n’a pas raté l’occasion de se faire entendre. Participant à la journée spéciale des femmes actives, la joint-venture d’Africa Internet Holding (AIH) a sous sa tente attiré une trentaine d’adhérentes. Focus sur la pseudo-journée de la femme.
Elles ont été nombreuses à honorer le rendez-vous. Dans la soirée du vendredi dernier, une centaine de femmes entreprenantes ont pris d’assaut l’hôtel Starland sied au quartier Bonapriso. Elles viennent de divers horizons, et pourtant un objectif les rassemble : montrer de quoi elles sont capables. Loin des concours de beauté ou encore des batailles d’oreiller, c’est sous des tentes qu’elles ont exposé leur savoir faire. La soirée spéciale réseautage et brins de causettes par et pour les femmes en vue de partager leurs expériences a accueillis en cette 10ème édition un nouvel invité : JUMIA.
Le site de vente en ligne a ouvert ses placards à la fin de cette première saison de Ladies’Afterwork. Derrière leur comptoir quelques hôtesses au large sourire communiquent sur le site. En un laps de temps, les dames invitées de la soirée défilent tour à tour devant le nouveau stand. C’est qu’en plus de l’exposition de cette garde robe, une promotion sur la réduction est portée à la faveur de tous les nouveaux abonnés. « Jumia propose de s’inscrire à la newsleter du site de manière à bénéficier une réduction de 6000 frs pour tout achat à partir de 40.000frs » affirme Emilie l’une des hôtesses du stand. A la fin de la soirée, le stand compte une trentaine de nouvelles clientes. Dans cette interaction professionnelle, le tout n’a pas été de se renfermée dans un égoïsme féminin, mais une occasion de sensibiliser sur le virus de l’heure : Ebola.
Ladies’Afterwor chargée d’émotions.
Qu’est ce que le virus Ebola ? Quels risques de contaminations et quels moyens pour s’en prévenir ? C’est aussi dans une ambiance studieuse et maternelle que les rênes de la soirée ont suivies la conférence sur le virus qui menace l’Afrique aujourd’hui. Une pluie de réactions a ainsi démontré l’attachement de ses dames à cet écueil. L’autre point phare de cette soirée a été la présentation de la lady de l’année Angélique TOUENGUENE. Votée via les réseaux sociaux pour son opiniâtreté et son caractère combatif notoire. En ce début e week-end, ces femmes de poignent rythmaient déjà aux couleurs musicales de l’artiste musicienne Nicole MARA reprenant en cœur les chants populaires. De quoi trinquer pour l’édition avenir.
Par André Michel NYEM